• | SELECTIONS PHOTOS
  • | SERIES PHOTOS
  • | CONTACT
  • Home
  • Au fil des jours

[Zone à part] PhotoBlog

Le PhotoBlog de Cyril Dhénin. Des clichés au fil des jours. Et des voyages.

  • Matos Photo
  • Best Of

2013 – Etats-Unis-Canada

Archive

29 juin 2013 par Cyril Dhénin

Khutzeymateen – Ambiances

Dans la vallée de Khutzeymateen, et plus encore près de l’estuaire, le temps change plusieurs fois par jour, environ toutes les 2 heures. On se lève à 6 heures du matin dans des paysages de brumes, on embarque dans le Zodiac sous le soleil à 8 heures et on revient au voilier 2 heures plus tard sous la pluie. Résultat, une grande variété d’ambiances et un terrain de jeu photographique sans fin…

_DSF3062
7h du mat’

_DSF3065
7’30 du mat’

_DSF2979
Dan, dans la brume, en train de relever son casier à crabes

_DSF3045
La marée descend et dévoile la végétation de l’estuaire

_DSF3055
Le garde-manger des ours

_DSF2984
Réflexion de la forêt dans l’estuaire

_DSF3056
Réflexion du ciel

Publié dans 2013 - Etats-Unis-Canada · Tagged bestof ·

Archive

29 juin 2013 par Valérie Doux

Khutzeymateen – Dan et Sandy, la passion pour élixir de jouvence

Dan et Sandy ont tous les deux 70 ans. Ils le disent bien volontiers, et pourquoi ne le feraient-ils pas ? Ils feraient pâlir d’envie bien des cinquantenaires. Ils tourbillonnent, débordent d’énergie sur le bateau, affairés à tout un tas de tâches nécessaires à la bonne marche d’un équipage en balade. Ils sont parfois difficiles à suivre, même quand on aborde à peine la quarantaine. C’est qu’ils ont chacun leur secret de jouvence.
Pour Sandy, la joie de vivre qui l’anime constamment. « I’m always happy », résume-t-elle. Toujours heureuse et joyeuse, avec un sourire d’enfant jamais blasé.
Pour Dan, la passion. Celle des grizzlis, et cette volonté farouche de cultiver le respect et la confiance mutuelle avec ces plantigrades. De les croiser tous les jours et de les voir simplement vivre, évoluer, grandir, et mourir aussi. « Mais toujours de cause naturelle », souligne-t-il.
Nous ne pouvions espérer hôtes plus inspirants pour notre parenthèse dans le Khutzeymateen Park…

_DSF3020-Modifier

_DSF2952-Modifier

_DSF2907-Modifier

Publié dans 2013 - Etats-Unis-Canada ·

Archive

29 juin 2013 par Valérie Doux

Khutzeymateen – A bord du Sun Chaser

Cinq jours sur un voilier, Cyril et moi, on n’avait jamais essayé. Alors, quand on a posé le pied sur le Sunchaser, un fier 40 pieds (un peu plus de 12 mètres) plein de personnalité bichonné par Dan, notre guide, on craignait forcément un peu d’y connaître le mal de mer. Mais les conditions météo pour rejoindre le parc Khutzeymateen ont été idylliques, et Dan a jeté l’ancre à l’endroit idéal pour éviter tout roulis. Résultat, on s’est tout de suite sentis le pied marin. Nous étions cinq durant ce voyage : pour nous accueillir à bord, Dan et sa compagne Sandy, et dans le rôle des amateurs de grosses peluches, Mike, un gars de Montreal, Cyril et moi. Le programme que nous avait concocté Dan nous a tout de suite ravis…

– Chaque matin, réveil à 6 heures pétantes. Après un copieux petit déjeuner, nous embarquons sur le Zodiac pour une première revue de détail de l’estuaire, à la recherche des grizzlis. Nous passons de longues heures à longer un paysage les étendues herbeuses qui disparaissent puis réapparaissent au fil des marées, et à observer à quelques mètres seulement les ours se délecter d’herbe bien grasse.
– Comblés, nous retournons à bord pour une pause bien méritée (faut bien faire redescendre l’adrénaline après avoir vu des ours de si près), avant de nous accorder un petit tour en kayak, histoire d’aller taquiner les phoques ou de contempler les cascades environnantes.
– L´après-midi, nouvelle sortie pour plusieurs heures en Zodiac. C’est que nos nouveaux amis nous manquent déjà, et on ne se lasse pas d’évoluer dans ce si beau territoire.
– On parle ensuite sur le pont de notre journée autour d’un verre de vin et nous nous régalons d’un sérieux dîner. Au menu, saumon pêché le jour même ou encore crabes charnus pris dans le casier posé à quelques encablures la veille.
– Coucher vers 21 heures. Chacun dans sa couchette se rejoue à sa façon le film de la journée et s’endort en comptant les grizzlis. Demain, d’autres instants de rêve nous attendent, bien réels ceux-là.

Dès le deuxième jour, pressés de partir en expédition, excités par les surprises que nous réserve le jour, nous anticipons chaque départ sur le Zodiac, et Dan nous trouve debout sur le pont, alignés en rang d’oignon, habillés pour affronter une éventuelle pluie et bardés de nos appareils photo et jumelles. Un large sourire s’inscrit sur son visage.

_DSF2998
Voiles affalées, ancre jetée, nous profitons du paysage depuis le pont

_DSF2993
Accroché au Sunchaser, le Zodiac bleu de Dan, que les ours ont appris à connaître

_DSF2915
A l’intérieur, l’espace est compté, mais tout est extrêmement bien organisé

_DSC0583
Remontée du casier à crabes posé la veille…

_DSF2946
Surprise, six beaux spécimens se sont laissé piéger. Notre repas du soir

_DSF3001
Juste glisser sur l’eau, dans le silence…

_DSF3025
Avec en point de mire de craintifs phoques, qui semblent posés sur l’eau

_DSF3068
Les minuscules mouches noires piqueuses qui apparaissent quand le soleil revient après une grosse pluie n’ont pas réussi à gâcher la fête. On les attendait au tournant avec notre super-équipement de ninja.

_DSF3049
Echoués contre un îlot herbeux, on observe aux jumelles. Mais où sont passés Mama et ses petits ?

Publié dans 2013 - Etats-Unis-Canada ·

Archive

29 juin 2013 par Cyril Dhénin

Khutzeymateen – Depuis et vers Prince Rupert

Nous avons été chanceux plusieurs fois ces derniers jours. Premier coup de chance : prendre contact avec Dan au moment où il dispose encore de deux places libres sur son voilier. Second coup de chance, la météo. Sans surprise, le nord de la Colombie-Britannique est du genre très pluvieux. Même si j’aime prendre les photos d’ours sous la pluie (les couleurs et contrastes sont bien plus intenses), je ne suis pas maso au point de refuser quelques rayons de soleil. Et, dans ce registre, nous avons été plutôt bien servis, à l’aller, lors des 7 heures nécessaires pour rejoindre en voilier la vallée de Khutzeymateen depuis Prince Rupert, comme au retour, durant les 20 minutes du voyage retour en hydravion.

_DSF2864
Départ à 5 heures du mat’

_DSF2875
Remontée de la côte, Khutzeymateen est à 45 miles au nord de Prince Rupert

_DSF2881
Dan a confié la barre à Sandy qui prend sa mission à coeur

_DSF2890
A droite, là-bas, commence « l’inlet » (littéralement l’entrée) dans la vallée de Khutzeymateen

_DSC0316
Panneau indiquant l’entrée du sanctuaire et rappelant l’obligation de se déclarer aux rangers

_DSF2895
Confortable, cette traversée…

_DSF2908
Aux portes de l’estuaire

_DSF3073
Notre taxi pour le retour

_DSF3086
Le vol ne dure que 20 minutes mais…

_DSF3087
on profite pleinement de la vue…

_DSF3093
Arrivée à Prince Rupert que l’on trouve presque agitée après ces 5 jours « into the Wild ». Pourtant, Prince Rupert, c’est tout sauf une ville trépidante 😉

Publié dans 2013 - Etats-Unis-Canada ·

Archive

23 juin 2013 par Cyril Dhénin

Prince Rupert – Hyder – Prince Rupert

Oui, on sait, nous vous avions dit que nous montions au nord, vers l’Alaska, et par la route. Et c’est bien ce que nous avions prévu. Mais voilà, lorsque nous étions à Prince Rupert nous avons lancé quelques bouteilles à la mer. Entendez que nous avons envoyé quelques mails ici et là pour voir s’il n’était pas possible de faire un tour dans le parc Khutzeymateen dans les deux semaines à venir… Difficile à prononcer, hein ? Situé à quelques heures de bateau de Prince Rupert, ce parc est une zone extrêmement protégée car il s’agit d’un sanctuaire pour les ours bruns (les grizzlis). Le nom du parc n’est pas inconnu des Nikonistes puisque Khutzeymateen est le terrain de chasse (photographique) de prédilection de Brad Hill, photographe animalier canadien et critique très apprécié des appareils et objectifs de la marque jaune. Si cet espace de 44 000 hectares est fermé au public, une poignée de guides est toutefois autorisée à y emmener des touristes. Les excursions à la journée mises à part, ce sont environ 200 personnes qui chaque année y séjournent.

Donc, on a tenté le coup. Et alors que nous étions déjà repartis vers le Nord, nous avons reçu une réponse en forme de double surprise. Première surprise, deux places étaient encore disponibles sur un voilier pour un séjour de 5 jours (dont 3 jours complets dans le sanctuaire). Un vrai coup de bol, ce genre de séjour se réservant au minimum un an à l’avance. Seconde bonne surprise, ce mail émanait de Dan Wakeman. Naturaliste, Dan est une haute figure du coin puisqu’il a contribué à faire de Khutzeymateen une zone protégée. Auteur de « Fortress of the Grizzlies« , mis à contribution par la BBC ou encore par National Geographic pour des reportages, il connaît les ours résidents de Khutzeymateen individuellement. Inutile de vous dire que nous n’avons pas réfléchi longtemps avant de lui confirmer notre participation. Bref, voilà comment après être arrivés à Hyder (voir note précédente) nous avons fait demi-tour. On n’est pas à 1000 km près…

Avec Dan, nous devrions pouvoir profiter de belles observations. Départ prévu lundi matin aux aurores à bord de son voilier et retour prévu vendredi en hydravion – tout cela peut bien sûr changer selon la météo. On se recause donc dans quelques jours. En attendant, ci-dessous, quelques images glânées sur la route entre Prince Rupert, Hyder et… Prince Rupert où nous avons aperçu des ours et, surtout, notre premier loup (désolé, pas de photo…).

_DSF2810
Un glacier qui borde la route à quelques kilomètres de Hyder

_DSF2826
Du côté de Kitwanga, localité importante pour l’histoire des tribus locales

_DSF2832
En témoignent les totems… (oui, au fond c’est notre camping-car !)

_DSF2837
Des totems qui, en quelque sorte, encodent l’histoire d’un clan, d’un village ou encore d’un personnage

Publié dans 2013 - Etats-Unis-Canada ·

Archive

23 juin 2013 par Cyril Dhénin

Hyder, Alaska, ville fantôme

On y était déjà passés mais c’était sur notre route et l’ambiance vaut le détour. Hyder est une localité un peu particulière puisqu’elle est située en Alaska mais au bout d’une route… canadienne. Sur ces derniers kilomètres, après avoir passé un vague poste frontière (où on s’intéresse plus au trajet de vos vacances qu’à votre passeport), on change donc de fuseau horaire, de monnaie et un peu, aussi, de mentalité…

_DSF2817
Même l’enseigne est tombée dans le ravin. C’est vraiment la ville fantôme…

_DSF2818
L’Etat d’Alaska ne prélève pas de taxe sur la vente de marchandises. Et ici, on en est fier…

_DSF2813
L’incontournable « General Store »…

_DSF2813-2
Les enseignes valent le coup d’oeil

_DSF2823
Nous sommes bien aux « United States »…

_DSF2820
Cette photo simplement parce que… j’aime les bus jaunes perdus dans la nature 😉

Publié dans 2013 - Etats-Unis-Canada ·

Archive

23 juin 2013 par Valérie Doux

Histoire en conserve

« Vous êtes français ? J’adore la France. C’est un pays qui a une histoire. Nous, on n’en a pas. » Voilà ce que nous disent parfois les Canadiens de Colombie-Britannique quand ils apprennent d’où on vient. Enfin, les Canadiens d’origine européenne. Parce que les peuples des Premières Nations (c’est ainsi qu’on appelle ici les Amérindiens), eux, ont des millénaires de belles histoires à raconter.

L’histoire « européenne » de la Colombie-Britannique, donc, ne commence effectivement qu’à la fin du XVIIIe siècle, quand les premiers Européens débarquent du côté de Vancouver. À peine plus de deux siècles. Ce qui explique que leurs « lieux historiques nationaux », transformés en musée, soient en fait si jeunes. Comme la North Pacific Cannery que nous avons visitée à Port Edward. Cette conserverie de saumon faisait partie des nombreuses usines de ce type le long de la côté Pacifique jusqu’au milieu du XXe siècle. De vrais villages se créaient alors autour de ces entreprises.

En déambulant entre les vieux bâtiments sur pilotis, en parcourant les ateliers et en découvrant les machines de la chaîne de production, en visitant les habitations, les anciens bureaux, on comprend très vite que l’endroit avait ses codes et ses classes sociales. Les Chinois, tout en bas de l’échelle, étaient assignés aux tâches les plus pénibles. Ils avaient quitté leur famille restée au pays qu’ils pensaient pouvoir faire venir un jour (ce que ne leur permettait bien souvent pas leur salaire). Les femmes amérindiennes mettaient le saumon en boîte. Elles vivaient sur place avec maris et enfants. Les Japonais, mieux payés et considérés, se comptaient nombreux dans les rangs des pêcheurs. Quant aux Européens, ils constituaient bien évidemment la direction, l’encadrement et les employés de bureau…

_DSF2790-Modifier

_DSF2785-Modifier

_DSF2789-Modifier

_DSF2797-Modifier

_DSF2802-Modifier
A quelques kilomètres de Prince Rupert et Port Edward

Publié dans 2013 - Etats-Unis-Canada ·

Archive

15 juin 2013 par Cyril Dhénin

Une bonne journée sur la route 99

Nous avons donc amorcé notre grande remontée vers le Nord. Direction ? L’Alaska, bien sûr. Dans un premier temps, l’idée est d’arriver à Prince Rupert, au nord de la Colombie-Britannique. Depuis Vancouver nous avons suivi la route 99, une bien belle route qui, durant une centaine de kilomètres, de Whistler jusqu’à la jonction avec la 97, serpente entre forêts, montagnes et lacs. Ca monte fort, le moteur de Big Joe (notre camping-car) peine un peu, mais bon… on n’est pas vraiment pressés. A un moment, je dis un truc du genre « Ce sont des montagnes à ours, non ? ». Cinq minutes plus tard, un ours noir débarque sur le bord de la route. En fait, c’est plutôt nous qui débarquons. Lui dévore sans temps mort la végétation du bord de la route, nous jetant de temps à autre un coup d’oeil curieux. Une pause sur la route 99 comme on n’osait pas en rêver.

_DSC0291
Oui, il est brun clair, mais c’est bien un ours noir (et non un grizzly que l’on trouvera plus au nord). La forme des oreilles, de son museau et ses griffes le confirment.

_DSC0298
Légèrement sur le qui-vive…

_DSC0294
… puis rassuré

_DSF2730
La route 99, entre montagnes…

_DSF2743
forêts…

_DSF2737
et lacs

_DSF2749
Fin de journée en bordure d’un lac de la route 97.

Publié dans 2013 - Etats-Unis-Canada ·

Archive

15 juin 2013 par Valérie Doux

Des cascades en cascade

Il y a des jours comme ça où, même quand il ne pleut pas, on n’arrête pas de voir de l’eau tomber. Il y a quelques jours, nous avons croisé sur notre route en quelques heures pas moins de trois cascades. Ceux qui pensent que, les cascades, on en a vu une on les a toutes vues, pourraient changer d’avis après ces quelques photos.

_DSF2713
Aux Shannon Falls, hautes de 330 m (quand même trois fois la hauteur des chutes un peu plus connues du Niagara), l’eau dévale des rochers sur plusieurs paliers. La cascade semble ne jamais prendre tout à fait le même chemin et donne vie à certains rochers où on pourrait jurer voir bouger un visage…

_DSF2717
Aux Brandywine Falls, la rivière chute brutalement, tombant toute droite dans un bassin 70 mètres plus bas sans adopter de chemin détourné ni trouver d’obstacle sur son passage.

_DSF2724
Aux Nairn Falls, l’eau s’est taillée une route de 60 m à travers la pierre en l’érodant patiemment, sculptant des ponts et des marmites où elle s’engouffre et tourbillonne, puissante et assourdissante.

Publié dans 2013 - Etats-Unis-Canada ·

Archive

15 juin 2013 par Valérie Doux

Construire un feu

Les passionnés de Jack London se seront rendu compte que j’ai emprunté le titre de cette note à une de ses nouvelles, qui conte les aventures d’un homme devant impérativement allumer un feu. C’est que le feu de camp est une chose avec laquelle on ne rigole pas chez les campeurs de tout poil au Canada et en Alaska. Quasi une institution. Sinon, comment ferait-on griller les saucisses ou fondre les marshmallows ? Et comment diable éloignerait-on les moustiques et les bêtes féroces qui peuplent les vastes étendues nord-américaines ?

Faire un feu, ou plutôt construire un feu, est un art. Trouver le bon « allumeur » (briquette de pétrole pour certains, bougies pour d’autres, mais mousse, écorce, aiguilles de pin, petit bois flotté… trouvés sur place pour les puristes et enflammés grâce à un briquet ou une allumette et un peu de papier), rassembler des branchettes et les mettre en forme de tente indienne de façon à ce qu’elles soient proches du point chaud créé par l’allumeur tout en laissant passer l’air, l’oxygène étant le moteur de tout bon feu. Allonger sagement à proximité les premières bûches pour qu’elles sèchent et se réchauffent tout doucement. Une fois le feu démarré et la chaleur bien concentrée, ajouter des branches de plus en plus grosses jusqu’à disposer les bûches, en prenant soin, toujours, à ce que l’air circule. Un art, vous dis-je. Pour essayer de le maîtriser, on peut passer des heures à regarder vivre le feu, pour comprendre comment tout cela fonctionne. Une occupation qui donne à tous vos vêtements la délicieuse odeur du feu de camp.

_DSF2683-Modifier-2

Publié dans 2013 - Etats-Unis-Canada ·
← Notes précédentes
Notes plus récentes →

Suivre depuis les réseaux


Google+

Flashbacks

  • 2013 – Etats-Unis-Canada
  • 2013 – Nouvelle-Zélande
  • 2013 – Antarctique
  • 2013 – Patagonie

Un p’tit mot clé ?

Derniers articles

  • Direction Photos.ZoneaPart.com
  • ebook : de l’Arctique à l’Antarctique
  • De Seattle à Seattle : une « boucle » de 26710 kilomètres
  • Oregon, une côte envoûtante (1)
  • Oregon, une côte pour les surfeurs (2)
  • Oregon, une côte très… vivante (3)
  • Oregon, une côte tourmentée (4)
  • A l’ombre des redwoods
  • Pause à San Francisco
  • En remontant vers San Francisco

Au fil des mois

  • janvier 2015 (1)
  • mai 2014 (1)
  • novembre 2013 (8)
  • octobre 2013 (12)
  • septembre 2013 (11)
  • août 2013 (10)
  • juillet 2013 (8)
  • juin 2013 (18)
  • mai 2013 (12)
  • avril 2013 (14)
  • mars 2013 (24)
  • février 2013 (17)
  • janvier 2013 (25)
  • décembre 2012 (11)

[Zone à Part] in the Cloud

  • Flickr – Pour publier et partager facilement les photos prises au fil de l’eau

[Zone à Part] Inside

  • PhotoCollections – Les galeries photos issues des voyages
  • PhotoSeries – Des petites séries de photos réunies sur des critères géographiques ou visuels

[Zone à Part] est habillé par :

Graph Paper Press photo and video themes for WordPress

All content © 2020 by [Zone à part] PhotoBlog. WordPress Themes by Graph Paper Press