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[Zone à part] PhotoBlog

Le PhotoBlog de Cyril Dhénin. Des clichés au fil des jours. Et des voyages.

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9 août 2013 par Cyril Dhénin

Le bestiaire de Denali

Côté animaux, on a plutôt été gâté dans Denali, notamment lors des trajets dans les bus du matin et du soir. Du plus rare au plus fréquent, saluons donc…

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Les mouflons de Dall. Les premiers jours, ils n’étaient que des petits points blancs à peine visibles sur les sommets. Et puis, lors de notre dernière soirée, ils ont daigné descendre et se mettre à notre hauteur.

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L’orignal. Drôle d’animal que le « moose », grand cervidé que l’on pourrait croire croisé avec un cheval. Perso, je le crains beaucoup plus que l’ours. Faut dire qu’un gros mâle peut approcher les 800 kg et que leur comportement reste assez imprévisible…

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Les ours – vous n’en aviez pas vus encore sur ce blog, hein ? 😉 A Denali, les grizzlis sont majoritairement blonds ou brun chocolat. On en a croisé pas mal, certains de près, tous occupés à dévorer des baies.

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Les caribous. Ceux-là semblaient interloqués mais pacifiques contrairement à un autre caribou croisé lors d’une balade et qui, de mauvaise humeur, nous a contraints à reculer un peu…

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J’allais oublier l’écureuil terrestre arctique pourtant bien à sa place en fin de liste, vu qu’il faut presque faire attention où l’on pose les pieds dans Denali pour ne pas tomber dans l’un de leurs terriers.

Publié dans 2013 - Etats-Unis-Canada ·

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9 août 2013 par Cyril Dhénin

5 conseils pour ne pas passer à côté de Denali

1 – Prévoir d’y passer plusieurs jours, a minima 3. Pour plusieurs raisons : pour multiplier les arrêts et randos, pour augmenter ses chances de profiter de belles vues du McKinley et de belles observations de la faune et, aussi, pour pouvoir « jouer » éventuellement avec une météo instable…

2 – Tenter de s’installer (difficile, voire très hasardeux sans réservation) le plus loin possible dans le parc. A Teklanika avec un camping-car ou une voiture+tente. A Igloo Creek ou, carrément au bout de la route, à Wonder Lake, avec une tente. A noter : ceux qui veulent camper en backcountry n’auront pas (ou peu) de problème de réservation. Certes, le parc est divisé en plusieurs « backcountry units » qui accueillent une petite poignée de campeurs mais, dans la pratique, peu de monde s’y aventure. Faut dire qu’entre la taïga (petits arbustes à hauteur d’épaule) et la toundra (sol mou miné par les trous d’eau) il ne faut pas compter faire plus de 10 km par jour. Un briefing préalable par les rangers est obligatoire. Prévoir une bonne heure au Backountry Center où l’on vous remettra aussi un cylindre noir, caisse sécurisée (ours…) dans laquelle ranger tout ce qui a une odeur (nourriture, produits d’hygiène, etc).

3 – Prendre le temps de bien comprendre le VTS (Vehicule Transportation System, c’est-à-dire les moyens de transport du parc) : différencier les bus verts (et leur sous-espèce : les bus campeurs) des les bus « Tours », identifier les grands segments de la route et les principaux arrêts, les grands horaires des flux aller et retour, etc. Objectif : en profiter pleinement et alterner chaque jour trajets en bus (pour « zapper » le long de la « Park Road ») et quelques randos into the wild. On rencontre beaucoup de personnes qui ne comprennent la souplesse du système qu’à la fin de leur séjour. Dommage…

4 – Prendre le premier bus (départ à 5h du mat) et/ou le dernier (départ à 17h00 pour un retour vers 23h00) pour maximiser les chances de voir des animaux. Prendre le premier bus par exemple jusqu’au deux tiers de la Park Road, s’arrêter pour randonner jusqu’à midi avant de rentrer pour faire une pause et… repartir avec le bus du soir. Bonus : les chauffeurs de début et fin de journée sont les plus expérimentés (pour contourner les règles parfois rigides du parc…) et aguerris (pour dénicher la faune).

5 – S’arranger pour être autosuffisant en nourriture pour toute la durée de son séjour. Ce qui veut dire faire le plein à Anchorage (4 à 5 heures de route) ou Fairbanks (2 à 3 heures de route) car autour il n’y a pas grand-chose et encore moins à des tarifs raisonnables. Pour l’eau en revanche, pas de souci, tout comme pour les dumpstations pour les camping-cars.

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Les fameux bus verts qui sillonnent les 90 miles de l’unique route du parc

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Une route qui suscite parfois quelques vertiges

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On peut préférer la toundra. Chaussures hautes et guêtres de rigueur

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En zappant sur la route grâce aux bus, on profite des couleurs du parc au fil de la journée… Polychrome Mountain, le matin

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Polychrome Mountain, en journée

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Polychrome Mountain, le soir

Publié dans 2013 - Etats-Unis-Canada ·

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9 août 2013 par Valérie Doux

Le point sur nos gueules

Bon, comme on reçoit des mails du genre (ça va bien, vraiment ? ça fait longtemps qu’on s’est vus, non ? à quoi vous ressemblez ?), l’heure est venue de faire un point rapide sur nos tronches…

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Commentaire de Cyril : Depuis qu’une coiffeuse néo-zélandaise lui a raté sa coupe, Valérie refuse de retourner chez le coiffeur. Mais, comme vous le voyez, la situation devient… critique. Donc, chères copines de Valérie, si vous pouviez gentiment lui expliquer que là, maintenant, ce serait bien de laisser un (ou une) professionnel intervenir, ce serait… sympa. Merci d’avance.
PS de Valérie : remettons les choses dans leur contexte. Y avait ce jour-là un vent à décorner les orignaux et à décoiffer les randonneuses !

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Commentaire de Valérie : Avec sa barbe (le rasoir est resté au fond du sac depuis notre arrivée au Canada), Cyril a décidé de se fondre complètement dans le paysage en se faisant passer pour, au choix : un bûcheron canadien, un idéaliste venu en Alaska pour se retirer de la société de consommation, un ranger du parc Denali (quasiment tous les chauffeurs des bus en portent une). Prêt pour s’installer ici ?
PS de Cyril : n’empêche que ça protège bien contre les moustiques

Publié dans 2013 - Etats-Unis-Canada ·

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28 juillet 2013 par Valérie Doux

Dans la baie de Kachemak

À Homer, on ne se lasse jamais d’admirer à l’horizon les montagnes noires chapeautées de glace bordant la baie de Kachemak. Entre elles et nous, une immensité d’eau semée de petites îles et d’anses profondes qui ne demandent qu’à être explorées en kayak. Pour faire plus ample connaissance avec le lieu et respirer son atmosphère, nous sommes allés pagayer quatre jours en kayak dans la baie. Avec nuit sous la tente et repas autour d’un feu de camp.

Nous aurions sans doute pu partir seuls, mais nous avons préféré recourir aux services d’un guide, Paul. D’abord parce qu’avec la marée (5 mètres de marnage…) le décor change pas mal et qu’on peut facilement s’égarer entre les îlots. Cyril et moi ne sommes pas connus pour notre sens de l’orientation (note de Cyril : Eh ! Parle pour toi ! Je m’oriente très bien moi ! Non mais…) Ensuite parce que partir avec un guide c’est toujours l’occasion de faire une rencontre intéressante et aussi d’en apprendre un peu plus sur le kayak et sur la nature.

Sous un ciel bleu, et rafraîchis par un petit vent qui a eu la courtoisie de rester discret, nous avons parcouru avec délice Sadie Cove, Tutka et Jackolof Bay, fait le tour des îles environnantes, surpris de nombreuses loutres de mer et quelques phoques en chemin, compté par dizaines les aigles chauves perchés sur les arbres. Avec le même plaisir toujours de glisser furtivement sur l’eau, de pouvoir frôler la côté et voir à même la roche anémones et étoiles de mer. De se laisser porter par le courant ou de devoir le remonter.

Avec notre guide, ce fut aussi une belle rencontre. Paul vit à Homer l’été, où il guide. Et profite de l’hiver sous un ciel plus clément, à Hawaï, avec ce qu’il a gagné durant sa saison estivale. Il fait partie de ces nombreuses personnes que nous croisons tout au long de ce voyage qui ont fait le choix d’une autre vie, loin des richesses matérielles, et qui préfèrent être plutôt qu’avoir. Qui sont riches d’autre chose et partagent volontiers avec nous leur savoir et leur philosophie de la vie. Un choix radical pour Paul qui, dans sa vie d’avant, disposait d’un très bon salaire en tant que responsable d’équipes dans la construction. Loin d’être un illuminé, il ne perd pas l’avenir de vue et réfléchit à travailler (un peu) plus pour mettre de l’argent de côté pour ses vieux jours. En attendant, l’été s’écoule et, la nuit venue, Paul rêve déjà de cette vallée hawaïenne dans laquelle il passera l’hiver.

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La plage qui fera office de camp de base durant nos 4 jours de kayak dans la baie

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En kayak sous un beau ciel bleu…

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… ou le soir venu dans des paysages roussis par le soleil couchant

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Des lumières du soir qui offrent de belles possibilités photo avec la faune locale

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De l’autre côté de la baie, on distingue les montagnes et volcans qui annoncent Lake Clark National Park ou encore Katmai National Park

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De temps à autre, une loutre passe, comme ici au premier plan…

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Pour ne pas dériver trop durant leur sommeil, elles n’hésitent pas à s’enrouler dans les algues en guise d’ancrage

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Paul, notre guide. Une vie entre le 49e Etat (l’Alaska) et le 50e (Hawaï), au plus près de la nature.

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20 juillet 2013 par Cyril Dhénin

Au bout de la route, Homer

Au bout de la route qui traverse la péninsule de Kenai se trouve Homer et son fameux « spit ». Une langue de terre au milieu de la baie de Kachemak. Dès nos premières incursions en Alaska, on a eu le coup de foudre pour Homer. Difficile de bien expliquer toutes les raisons. On aime Homer tout d’abord pour sa position « stratégique » qui en fait un camp de base idéal aussi bien pour explorer en kayak la baie de Kachemak que pour rejoindre en hydravion le parc national de Katmai, un des meilleurs endroits pour observer les grands ours bruns. On aime Homer aussi (surtout ?) parce ce qu’on y trouve un condensé d’Alaska : un panorama qui conduit de la mer aux montagnes, des gueules d’Alaskans hors du temps (j’essayerai d’en attraper quelques-unes en photo) et un rapport particulier à l’espace… A Homer, certes, les espaces sont délimités (parkings, campings, magasins…), les règles rappelées de temps à autre, mais tout cela avec une approximation et une tolérance certaines. C’est peut-être l’une des raisons de la douceur de vivre à Homer. Sans surprise, on va y rester quelques jours…

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Sur le front de mer, quelques boutiques sur pilotis

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A l’horizon la baie de Kachemak

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Notre camping, un bel exemple du caractère improvisé de l’organisation de l’espace à Homer…

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L’un des résidents de la ville, du haut de son poste de vigie

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20 juillet 2013 par Cyril Dhénin

La folie du poisson

En Alaska, on a la passion de la pêche, une passion qui, l’été venu, devient une vraie folie. Si les pêcheurs s’activent dès début mai, c’est entre mi-juin et mi-juillet que l’on sent un vent de folie souffler sur les rivières d’Alaska. Pour une raison simple : le king salmon, le plus gros des saumons, arrive. Comme les autres espèces de saumon (sockeye, coho, chum, pink), le king salmon, après quelques années en pleine mer, remonte les rivières pour venir y frayer et… mourir. Et ici, on est prêt à investir beaucoup, en temps et en argent, pour attraper au bout de sa ligne un de ces gros saumons. En moyenne, il faut une trentaine d’heure de pêcher pour réussir à tenir entre ces mains un king salmon. La patience s’impose donc, ce qui ne semble nullement décourager les centaines de pêcheurs – américains pour la plupart – qui se ruent sur les différents spots. Les saumons partis, la partie est loin d’être finie : il reste encore à participer à l’un des derbys en cours en accrochant le plus gros des flétans.

Bon, on le confesse sans souci, la pêche, c’est pas trop notre truc. Mais sur la route qui nous a menés à Valdez, à Seward, puis le long de la Russian River, on a pris plaisir à observer ces festivités.

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A Seward, après la pêche, on bichonne les trophées pour la photo finale

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A Valdez, après la découpe des filets, c’est l’heure du buffet pour les volatiles du port

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Toujours à Valdez, après la frénésie de la journée, l’accalmie nocturne

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Du côté de la Russian River, les saumons sont bien là…

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… et les pêcheurs aussi !

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20 juillet 2013 par Cyril Dhénin

Au fil des glaciers

Depuis Valdez (et la Richardson Highway), les glaciers ne nous quittent plus. A l’approche d’Anchorage, nous avons ainsi croisé le Matanuska, visuellement… étonnant. De loin, on s’interroge sur cette ligne blanche qui émerge entre forêts et montagnes. Il faudra attendre plusieurs kilomètres avant de voir cette langue de glace s’épaissir et l’identifier clairement comme un glacier. Du côté de Seward, c’est à l’Exit Glacier (c’est bien son nom) que nous avons rendu hommage, notamment en campant 2 nuits de suite face à lui. Faut dire qu’entre un camping fortement encombré à Seward et un joli coin tranquille en pleine nature 15 km plus loin, on n’a pas hésité longtemps…

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Difficile de prendre la mesure du Matanuska

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De loin, on peut presque croire au mirage

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L’Exit Glacier photographié depuis sa lisière – enfin celle de 1917 😉

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De plus près, on découvre ses belles crevasses bleues

Publié dans 2013 - Etats-Unis-Canada ·

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13 juillet 2013 par Valérie Doux

Sous le soleil de la Richardson Highway

Les guides l’affirment : la portion de la Richardson Highway qui relie Glennallen à Valdez est l’une des routes les plus spectaculaires d’Alaska… à condition qu’il fasse beau. Et là, ça n’était pas gagné, puisque c’est également l’une des régions de l’Etat les plus arrosées… et que la matinée avait été très nuageuse.

Confiants en notre bonne étoile, nous nous engageons résolument sur la route un début d’après-midi. Les gros nuages bas qui nous suivaient depuis le matin décident subitement de s’arrêter là, à Glennallen, nous laissant en quelques miles sous un grand ciel bleu. Et le spectacle commence. La forêt d’épinettes défile, avec, droit devant, les Chugach Mountains, pics sombres ourlés de glace, qui grossissent, grossissent, pour finir par supplanter les arbres. Nous sinuons alors entre les cimes imposantes. A 30 miles de Valdez, la route tourne d’un coup et nous dévoile le Worthington Glacier, masse de glace gigantesque qui descend jusqu’à la route, si proche qu’on a l’impression d’être sur le point de commencer son ascension. Vision magique.

Comme cela nous est arrivé parfois durant notre voyage, nous avons une certitude. C’est là qu’on veut dormir. Un parking, point de départ d’une marche jusqu’au glacier nous accueille pour la nuit. L’un de nos plus beaux panoramas de camping sauvage. Un autre camping-car arrivera un peu plus tard, et le chauffeur nous demandera à la fenêtre : « c’est permis de dormir ici ? » On ne sait pas mais, en tout cas, ça n’est pas écrit qu’on ne peut pas… Convaincu par tant de sagesse, il s’installe aussi pour la nuit.

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Nous laissons derrière nous les monts Wrangell, et les nuages commencent déjà à se dissiper.

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Première vue sur le glacier Worthington, derrière un champ d’épilobes.

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Une petite balade, pour presque le toucher.

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Et toute la nuit pour le voir changer de couleur au fil des heures…

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… et admirer le panorama depuis le camping-car.

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13 juillet 2013 par Cyril Dhénin

Wrangel Saint-Elias, l’imprenable

Imaginez un territoire de plus de 50 000 km2 (six fois la Corse) sur lequel on trouve 20 des plus hauts sommets des Etats-Unis et du Canada (dont 1 sommet de 6 000 mètres et 6 de plus de 5 000 mètres), des glaciers par centaines, des canyons, des fjords et… quelques dizaines d’êtres humains. Ce territoire, c’est le parc national Wrangel Saint-Elias. Un parc imprenable car 2 petites routes y entrent timidement – des voies trop incertaines pour qu’on y engage notre camping-car. En fait, la seule solution pour faire connaissance avec Wrangel Saint-Elias consiste à s’y faire déposer par un avion de bush (et le pilote qui va bien…) pour une rando de plusieurs jours, le temps de prendre l’échelle de ce géant. Un voyage à part entière qui demande une préparation matérielle rigoureuse (et une forme physique certaine). Alors, forcément, lorsqu’on longe ce gigantesque parc, lorsqu’on entrevoit ses sommets au loin, on se sent un peu frustré de ne pas pouvoir s’y enfoncer. Mais il est revigorant aussi d’imaginer un tel espace et sa faune (mouflons de Dall, caribous, grizzlis, ours noirs, loups, coyotes, renards, gloutons, lynx…) préservés et (presque) hors de portée…

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9 juillet 2013 par Cyril Dhénin

Festin de crabes à Haines

Haines, on connait et on aime. Donc, sur la route qui nous mène de Whitehorse à Anchorage (par où nous passerons avant de descendre dans le sud de l’Alaska), nous avons pris la « Haines Road », un petit détour de 500 km (aller-retour). Quelques heures de conduite pour rejoindre ce coin où vivent quelques centaines de personnes, entre montagnes et rivières, entre ours, aigles chauves (ils sont ici présents par centaines en novembre) et saumons. Bon, c’était pas vraiment le grand beau temps à Haines. C’était même du genre venteux, bouché et humide. Alors, au camping, notre hôte a organisé un « potluck » ou « repas-partage » comme on dit au Québec. En résumé, notre hôte a trouvé un pêcheur qui nous a ramené une vingtaine de crabes tandis que chaque campeur s’est occupé de préparer un plat. Et voilà comment on se retrouve à manger du crabe à 4 heures de l’après-midi et à raconter sa vie à un ex-militaire de la Caroline du Sud…

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Comptage des crabes au port. Attention aux doigts…

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Après le comptage, le décrassage

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Trop de vent pour rester dehors, le potluck s’improvise dans le garage

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Vue classique depuis Haines

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Vue… moins classique : un arc-en-ciel presque horizontal

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