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[Zone à part] PhotoBlog

Le PhotoBlog de Cyril Dhénin. Des clichés au fil des jours. Et des voyages.

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11 février 2013 par Cyril Dhénin

Des gens

Oui, je sais, trop de paysages et pas assez d’êtres humains dans les photos sur ce blog. Deux raisons à cela. Primo, j’estime qu’avant de prendre la photo de quelqu’un c’est bien de faire connaissance, de causer, de partager quelque chose… En tout cas, sans cela, j’ai un peu de mal… Secundo, ne parlant pas la langue du coin, les occasions de susciter des contextes pour de telles photos sont plus rares. On se rattrapera plus tard, en Nouvelle-Zélande peut-être, en Alaska sûrement (j’y compte bien). En attendant, 3 p’tites photos prises ces derniers jours…

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A  Puerto Montt, le porteur de coquillages, forçat de la mer (ou plutôt du port).

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Sur l’île de Chiloé, la tricoteuse-vendeuse de chaussettes/chapeaux/pulls/bonnets… Bref, tout ce qui se fait en laine.

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Sur le port de Puerto Natales, le marin… à quai. Le temps de refaire les 15 mètres de coque du bateau.

Publié dans 2013 - Patagonie ·

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8 février 2013 par Cyril Dhénin

Osorno, le mont Fuji chilien

D’accord, la comparaison est facile mais faut avouer qu’à la première impression rétinienne, ce volcan Osorno fait penser au mont Fuji. A l’approche, la comparaison s’efface peu à peu et on prend plaisir à chercher de nouveaux points de vue et à attendre les couleurs du soir pour faire un peu mieux connaissance.

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Publié dans 2013 - Patagonie ·

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8 février 2013 par Valérie Doux

Première crevaison

Ce trou, je l’ai vu, bien sûr, aussi profond que large, pire qu’un nid de poule, un nid de condor. Comme Cyril a habilement déjoué jusque-là les pièges semés sur les routes de l’île de Chiloé, je ne lui dis rien. Il ne peut pas ne pas l’avoir vu. Eh ben, celui-là, il ne l’a pas vu, et on passe pile poil dessus ! Ou plutôt dedans. (Note de Cyril : je l’ai vu, ce trou, mais il était tellement grand que j’y ai pas cru. Je l’ai pris pour une ombre. Bref, c’est la faute au soleil). Aussitôt après, la roue avant droite se met à faire un drôle de bruit. On attend de sortir d’une succession de virages pour s’arrêter et constater les dégâts.

Déjà, l’enjoliveur a disparu. Et puis, l’acier de la jante est tout tordu à un endroit. Quant au pneu, il est… difforme. Bref, on n’est pas bien. (Note de Cyril : en même temps, ce pneu, dès le début, je l’ai pas senti. Disons que je l’ai achevé, hein ?). Cyril reste dans la voiture, warnings allumés, pendant que je remonte la route, histoire de voir si je peux retrouver l’enjoliveur. Une voiture me dépasse, ralentit pour savoir si tout va bien, et je lance au chauffeur un « No problemo ». Comment lui expliquer pour l’enjoliveur alors que je ne parle toujours pas espagnol ? Une minute plus tard, la même voiture revient vers moi, l’une des passagères agitant à la fenêtre notre enjoliveur. Ils m’embarquent et me ramènent à la voiture. Ah, la gentillesse chilienne !

Cyril a à peine le temps de sortir la roue de secours et les outils qu’une autre voiture s’arrête à notre hauteur. Un homme en sort, parle à toute vitesse et prend les choses en mains. Vu sa dextérité, le gars doit s’entraîner dans les stands de Formule 1… En trois minutes, il a démonté la roue. Quelques minutes encore, et la roue de secours est en place. Faut dire qu’il ne fait pas bon rester dehors à cet endroit. Il fait chaud d’abord, très chaud. Et puis, au bout de quelques minutes, une armée de bestioles volantes, sorte de gros bourdons à tête rouge, virevolte autour de Cyril et de notre bon samaritain. Qui nous conseille d’aller faire voir tout ça à Castro, la capitale de l’île. A peine a-t-on le temps de le remercier chaudement qu’il est reparti.

Problème : comment acheter un pneu et faire réparer l’ensemble (la jante est tordue) quand on ne parle pas la langue du coin ? Dans ce cas, l’expérience nous l’a montré, il faut essayer de faire les choses dans l’ordre… 1) Trouver un traducteur. 2) Appeler le loueur pour le prévenir. 3) Acheter un pneu (hors de question de rouler dans le coin sans roue de secours). 4) Faire réparer et vérifier tout cela… Pendant quelques minutes, on se dit que tout cela va nous prendre du temps, beaucoup de temps…

Puis, on se souvient qu’à l’office de tourisme de Castro, à 60 kilomètres, un petit gars fort sympathique parle la langue de Shakespeare (ils sont rares dans le coin). A petite vitesse, nous rejoignons donc Castro pour retrouver notre anglophone et lui expliquer notre problème. Cyril lui parle avec les mains, noires de graisse et de poussière, et c’est lui qui appelle le loueur, de son téléphone portable. Ouf, on n’aurait jamais pu se faire comprendre. C’est aussi à l’office de tourisme que nous récupérons l’adresse de Good Year (Note de Cyril : je ne dirai plus jamais de mal des offices de tourisme). On y arrive assez facilement. Cyril attrape un gars par le col de la chemise et mime nos exploits de la journée avant de sortir du coffre la roue hors d’usage. La vue de cette roue, et surtout de la jante défoncée, devient l’attraction de l’après-midi. Plusieurs têtes viennent se pencher dessus et Cyril doit expliquer plusieurs fois où il a réussi un tel exploit.

Le nouveau pneu dans le coffre, on nous lance un « mecanico ? » Ben oui, en effet, maintenant, il nous faudrait un garagiste. Sans plus d’explications, un gars de Good Year monte dans une camionette et nous invite à le suivre. On se retrouve avec lui dans un vaste atelier où notre cas est pris en main de suite et… gratuitement. Cyril regarde sa montre et me murmure « eh bé, problème réglé en 2h00, pas mal ». En effet, pas mal et grâce, reconnaissons-le, à une belle succession de coups de main…

(Note finale de Cyril : j’aimerais porter à l’attention des lecteurs qu’en 5 jours de conduite je n’ai écrasé aucun chien bien qu’ils pullulent ici sur les routes et ne suis entré en collision avec aucun autre véhicule alors que la gestion des priorités dans ce pays m’échappe encore. Bon, d’accord, j’ai pas vu ce trou béant dans la chaussée… D’accord… Au fait, cette note est intitulée « Première crevaison » parce que je suis d’un naturel optimiste ;-))

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Même réparée, elle n’inspire pas encore vraiment confiance, non ?

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8 février 2013 par Valérie Doux

Coquillages géants

L’île de Chiloé, c’est le rêve éveillé pour les amoureux de coquillages. Les huîtres, comme les moules, y sont géantes, à tel point qu’on se demande si elles n’ont pas subi des mutations génétiques. C’aurait été dommage de ne pas y goûter, non ?

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Un midi, on voulait manger sur le pouce (et sur le port), et on découvre un petit vendeur d’huîtres qui vous agite ça sous le nez.

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On ne peut résister, on lui dit OK, et il ouvre d’une main experte « la bête ».

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Il fait glisser ensuite l’huître délicatement dans un bol où elle trouve à peine sa place. Un collègue l’assaisonne d’un filet de jus de citron, d’origan et d’oignon émincé, et le tour est joué. Délicieux. Une huître, un repas, rien de plus simple !

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Quant aux moules, ben, comment dire, on n’en mangerait pas trois douzaines. De toute façon, elles ne tiendraient pas dans l’assiette. Cuites à la vapeur, elles expriment tous leurs arômes. Même pas besoin de frites !

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8 février 2013 par Cyril Dhénin

Quelques jours sur Chiloé

Comme prévu, nous avons profité du grand beau temps annoncé (et confirmé sur place) pour nous rendre sur Chiloé, la deuxième grande île du Chili, en mode voiture (louée) et camping. Récit en images.

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Embarquement à bord du traversier que l’on aime remplir ici jusqu’au dernier mètre…

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Ciel bleu, palmiers et le pacifique comme horizon. Not bad.

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Castro, ville principale de l’île, est connue pour ses maisons sur pilotis…

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…Et ses églises. Vu de l’extérieur, ca ressemble au château de la princesse au bois dormant mais… plusieurs de ces églises sont tout de même classées au patrimoine de l’humanité car…

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… elles sont faites de bois et, pour les plus authentiques d’entre elles, sans un clou. Ce sont de gros puzzles, quoi. Bien eu envie d’enlever une pièce pour voir le résultat…

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Dans le parc national de Chiloé, on retrouve des arbres couleur cannelle…

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… et des fleurs en forme en forme de loupiottes asiatiques.

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Puis, après avoir traversé la forêt, on prend le chemin de la plage…

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… et le Pacifique apparaît.

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2 février 2013 par Cyril Dhénin

Dans un (gros et long) nuage

Bon, on nous avait prévenu que les montagnes chiliennes avaient tendance à transformer la côte en réservoir à nuages. On a pu le vérifier durant les 3 jours de traversées de Puerto Natales à Puerto Montt. En entrant dans les fjords, le soleil s’est rapidement éclipsé pour céder la place à un ciel couvert, à des brouillards persistants, à de fines pluies. Les paysages sont  devenus très… monochromes. Heureusement, les discussions avec plusieurs compagnons, voyageurs au long cours, certains n’ayant d’ailleurs pas pris la peine d’acheter un billet de retour pour la France, ont permis de bien occuper les journées. Et puis, le soleil – et le ciel tout simplement – est réapparu.

Les prévisions météo étant a priori (restons prudents…) bonnes pour les jours à venir, nous allons récupérer demain une voiture pour explorer l’île de Chiloé, la deuxième plus grande du Chili après la Terre de feu et y camper quelques jours.

PS de Valérie, dédié à un certain Jean-Marc : sur le bateau, on n’a pas fait que discuter, on a aussi joué aux cartes, à l’ascenseur plus précisément, mieux connu sous certaines latitudes sous le nom de Tupilak.

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Un arc-en-ciel… mais aussi un ciel couvert qui annonce la suite…

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Bon, nous au moins, contrairement aux vaches, nous étions à l’abri

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Arrivée à Puerto Montt. Quelqu’un a rallumé la lumière ? Merci !

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Balade au marché aux poissons de Puerto Montt. Festin de saumons en perspective…

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… Ou bien de moules. Ou bien… les deux !

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28 janvier 2013 par Cyril Dhénin

« Last Minute Deal », once again

A Paris déjà, on avait bien dans l’idée de prendre ce bateau. Et puis de nombreux voyageurs nous ont confirmé que cette remontée des fjords chiliens de Puerto Natales à Puerto Montt en bateau (3 à 4 jours) est magnifique mais… un peu chère. On nous avait aussi indiqué que dans le sens sud-nord le bateau est rarement plein. Ca sentait bon le plan « Last Minute ». On a donc attendu que les prix baissent en jetant des p’tits coups d’oeil sur le Web et on est allé l’air candide au guichet d’une agence pour réserver 2 billets.
– Bonjour madame, 2 billets pour Puerto Montt en cabine partagée avec hublot, s’il vous plait, départ du 29 janvier.
– Ce sera 520 dollars par personne.
– Ah… Nous on pensait plutôt payer genre 350 dollars comme c’est proposé sur le site web de la compagnie du bateau depuis 1 heure maintenant en mode « Last Minute »…
– Vous êtes sûrs, je ne vois pas ce prix ? (le visage n’est pas très aimable, là).
– Totalement sûr, oui (moi, je souris toujours).
– Attendez, je dois vérifier…
Une opération qui va lui prendre 10 bonnes minutes, Valérie la soupçonnant de s’être occupée d’un autre dossier entretemps, histoire de marquer le coup… Puis, enfin :
– Bon… Il ne reste que 2 cabines libres…
– Et le prix…
– Le prix, j’ai vérifié… Ca vous coûtera en effet… 350 dollars par personne… Alors ?
– Ben, alors on va prendre 2 tickets !

Et voilà, 340 dollars économisés. Morale de l’histoire, sauf si l’on souhaite être sûr à 100% de partir à une date donnée, dans le coin, inutile de se presser pour réserver…

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Sur le port de Puerto Natales, en attendant notre bateau pour Puerto Montt…

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28 janvier 2013 par Valérie Doux

« Ushuaia, fin del mundo »

« Ushuaia, fin del mundo ». Voilà ce qui est proclamé un peu partout dans Ushuaia : dès l’entrée de la ville, au bord du canal de Beagle sur un énorme panneau (tout le monde se prend en photo devant), sur des dizaines enseignes (hostel Fin del mundo, la casa Fin del mundo…), sur des tee-shirts… En français, « fin del mundo » se traduit de deux façons : la fin du monde, mais aussi le bout du monde. Pour la fin du monde, n’en parlons plus, c’était le 21 décembre dernier, et si elle avait eu lieu vous ne seriez plus là pour lire ce post. Ushuaia est donc la bout du monde. Quand nous préparions notre voyage, nous imaginions d’ailleurs la ville ainsi. Un bout du monde battu par les vents, où seuls les solitaires et les âmes en quête d’absolu s’y retrouveraient.

Géographiquement, presque rien à redire à cette affirmation… si ce n’est qu’à 80 km plus au sud, côté chilien du canal de Beagle, se trouve le village de Puerto Williams, un peu plus de 2000 habitants. Bon, d’accord, le nom est moins exotique qu’Ushuaia, il aurait fait un moins bon titre d’émission ou un nom moins percutant pour un gel douche, mais c’est une réalité, Ushuaia n’est pas la ville la plus au sud du continent sud-américain.

Et puis, Ushuaia n’a plus vraiment les allures d’un bout du monde. Une rue principale bordée d’enseignes internationales (Columbia, Timberland, The North Face…), des magasins de souvenir à ne pas avoir assez de doigts pour les compter, des restaurants qui affichent des « menus touristiques », des autobus d’excursion qui inondent par vagues successives le parking central sur le front de mer, des bateaux monstrueux qui lâchent leur cargaison de touristes avides de se dégourdir les jambes pour quelques heures dans la ville avant de reprendre la mer… Le jour où elle s’est proclamée bout du monde et en a fait un argument marketing, Ushuaia a perdu son âme.

Heureusement, les bouts du monde existent, mais ils ne sont pas forcément là où on les attend. Avec Cyril, on en découvre parfois au fil de nos voyages. Récemment, sur la côte argentine, au bout d’une piste rocailleuse, nous avons dormi à Camarones, joli petit village paisible de Patagonie épargné par le tourisme de masse. Les bus d’excursion n’y viennent pas, s’arrêtant plus au nord près d’une colonie de manchots de Magellan. Au premier coup, le village semble comme abandonné. Mais en s’y attardant un peu, on découvre sa vie, son rythme, ses habitants bienveillants… Camarones n’est sans doute pas un village très prospère, mais on y respire assurément une atmosphère de bout du monde.

PS de Cyril : Bon, si je comprends bien tu fais une note sur Ushuaia une semaine après que l’on en soit partis. Et la chronologie de ce blog, t’en fais quoi hein !? Et la ligne éditoriale alors !?

PS de Valérie : ah bon, y a une ligne éditoriale ? Faut qu’on en parle. Et puis, moi je réfléchis avant d’écrire, môssieur !

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Camarones, notre « bout du monde en Argentine »

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28 janvier 2013 par Valérie Doux

Un drôle d’animal : le photographe

Je ne voudrais pas faire ma grande gueule, mais y a quand même un moment que j’ai envie de parler d’une catégorie de voyageurs, les photographes, plus spécialement de ceux équipés de reflex aux téléobjectifs qui ressemblent à des bazookas.

Il y a quelques jours, pour nous faire une idée de l’étendue et des beautés du parc Torres del Paine et savoir dans quel coin nous allions randonner, nous avons fait une balade d’une journée avec un gars en camionnette et quelques autres gugusses. Sur les chapeaux de roues, il nous a donné un joli aperçu des lacs, glaciers, monts et montagnes… A midi, près d’un lac, chacun sort son casse-croute, et apparaissent aussitôt des caracaras, sorte d’aigles au bec rouge. Bien sûr, on nous a recommandé de ne pas les nourrir, et notre petit groupe les observent en silence, presque religieusement. Débarquent soudain quatre Américains armés jusqu’aux dents d’appareils photo aux téléobjectifs monstrueux. Ils se jettent ventre à terre dans l’herbe, ignorant complètement les personnes qui regardent juste avec leurs yeux, et qui se retrouvent derrière eux du coup, tentent des approches en rampant ; les oiseaux reculant ils leur jettent des miettes. Et le cirque dure ainsi des plombes.

Alors qu’ils se relèvent, ravis de leurs prises en rafales, je murmure assez fort pour qu’ils puissent entendre : « C’est cool de prendre des aigles à terre en train de picorer des miettes. Vraiment into the wild ! » Je ne sais ce qu’ils en retiendront, et même s’ils ont entendu ou compris, mais ça soulage.

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Le Caracara… sans les photographes 😉

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28 janvier 2013 par Cyril Dhénin

Rando dans Torres del Paine

Deux heures de bus depuis Puerto Natales, une petite navette, et on rejoint le camping Las Torres. Et là, on est… bien. D’autant que, comme au Fitz Roy, la météo est avec nous. Si vous ouvrez un bouquin sur ce parc, vous verrez que le grand trek du coin s’appelle le « W », parce que les points qu’il relie sur la carte forment un « W ». Rejoindre ces points demande 5 jours de marche. Nous, on a préféré faire juste un « bras » du « W » (je sais, c’est… p’tit bras) mais en prenant soin d’en choisir un beau, un très beau. Environ 9 heures de marche avec, au bout, le  mirador » (point de vue) Torres del Paine.

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Au premier plan, à l’ombre notre tente, à l’arrière plan, les Torres, 3 tours granitiques

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Le lendemain matin, 6h30, ça donne ça.

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Après 4 heures d’ascension, on s’approche

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Et voilà les 3 tours

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La plus grande culmine à 2850 mètres

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