L’île de Chiloé, c’est le rêve éveillé pour les amoureux de coquillages. Les huîtres, comme les moules, y sont géantes, à tel point qu’on se demande si elles n’ont pas subi des mutations génétiques. C’aurait été dommage de ne pas y goûter, non ?
Un midi, on voulait manger sur le pouce (et sur le port), et on découvre un petit vendeur d’huîtres qui vous agite ça sous le nez.
On ne peut résister, on lui dit OK, et il ouvre d’une main experte « la bête ».
Il fait glisser ensuite l’huître délicatement dans un bol où elle trouve à peine sa place. Un collègue l’assaisonne d’un filet de jus de citron, d’origan et d’oignon émincé, et le tour est joué. Délicieux. Une huître, un repas, rien de plus simple !
Quant aux moules, ben, comment dire, on n’en mangerait pas trois douzaines. De toute façon, elles ne tiendraient pas dans l’assiette. Cuites à la vapeur, elles expriment tous leurs arômes. Même pas besoin de frites !
hey ! quel plaisir de te voir Valérie !
On effet c’est effrayant la taille de ces bestioles.
Bon appétit et bonne continuation. Attention aux chiens quand même.
L’expression « steak de la mer », ça vient de là, non?
Ceci dit, vous faites bien de faire le plein de protéines… La route est encore longue. 🙂
qu’est ce que tu es mignonne sur cette photo…. la liberté, les voyages (et l’amour sans doute)… te font un teint divin !! biz à tous les deux