Il est relativement élevé (2800 mètres), il est enneigé et il domine la région, ce volcan Villarrica. Alors, forcément, on a vite envie de trotter jusqu’à son sommet, ou plutôt son cratère. Une ascension qui demande de s’équiper complètement (casque, crampons, piolet…) et d’être accompagné d’un guide. Autant de points qui sont vérifiés par les autorités à l’arrivée sur le site. Ensuite, c’est parti pour 4 à 5 heures de grimpette dont une bonne partie s’effectue dans la neige.
Au sommet, on découvre le cratère qui régulièrement s’efface dans un nuage de soufre (oui, oui, ce volcan est actif) ainsi qu’un magnifique panorama sur les autres volcans des alentours. Quant à la descente, elle ne prend qu’une heure, pour une raison simple : elle s’effectue sur le derrière, piolet en main pour freiner (vaut mieux, sinon ce sont les rochers qui vous arrêtent…). Bref, si les conditions météo sont bonnes et l’encadrement à l’hauteur (ce qui fut le cas avec les guides d’Aguaventura), le volcan Villarrica sait récompenser ceux qui en font l’ascension.
Le volcan Villarrica vu depuis le toit de l’agence Aguaventura.
Fini les rochers, bonjour la neige. Le moment est venu d’enfiler les crampons.
Allez, une dernière, histoire de se faire charrier un peu, hein ?
Bon, je crois que définitivement, je te hais.
Sinon, à part ça, t’es très mignonne avec ton bonnet et tes lunettes 🙂
Rafalou… Tss…Tss 😉