Ah, la viande argentine ! Le boeuf, l’agneau, et même le porc. Succulente, tendre, fondante, goûteuse, savoureuse… Quand on commence à en parler, l’oeil devient brillant, la salive envahit la bouche, et le discours se pare d’adjectifs tous plus flatteurs les uns que les autres.
Bon, d’accord, il y a la viande. Mais il ne faudrait pas oublier deux autres trésors de la gastronomie argentine.
- Le dulce de leche d’abord. La confiture de lait, comme on l’appelle chez nous, est sur toutes les tables du petit déjeuner. Les enfants la préfère à une célèbre pâte chocolatée aux noisettes bien connue chez nous. On la trouve aussi dans des tartes, des gâteaux, des glaces, et même dans certaines sauces pour les pâtes (goûté et approuvé). Consécration, on a trouvé au supermarché des Danette, saveur dulce de leche! (Note de Cyril : en glace ça passe vraiment très très bien…)
- La bière, ensuite. Une phrase qui figure dans tous les petits guides de conversation à l’intention des non-hispanophones se rendant en Argentine : « Una cerveza, por favor » (une bière s’il vous plaît). La bière se boit ici comme de l’eau. D’ailleurs, dans les restaurants, pour le prix de deux petites bouteilles d’agua con gas (de l’eau pétillante), on peut avoir un litre de bière. Car ici, la bière se propose au litre sur les menus. Comme le maté, cette boisson se partage. Et c’est tant mieux, car ce breuvage possède mille vertus, dont la première est sans conteste de délier les langues autour d’une table. Les liens se tissent, les histoires se racontent, et les heures passent alors que défilent les bouteilles. (Note de Cyril : mouais, faut tout de même qu’on réduise notre conso quotidienne, non ?)
Alors, un bife de carne (steak de boeuf), oui, mais accompagné d’une cerveza (bière) et suivi d’un flan con dulce de leche (flan à la confiture de lait).
Cela a tout du gueuleton de réveillon de fin d’année ! Avec un peu de glace de Perito Moreno pour finir,… les lunettes de soleil c’est sûrement pas pour la gueule de bois!!!
Encore! Encore!
Bonne année petits « wineyards »!
(un peu tiré par les cheveux, je sais! Mais, bon, pour le coup, les quelques qui me restent sont bien raides aujourd’hui 🙂 )
Pas mal, pas mal le jeu de mots, si si 😉 Bonne année à toi Bruno. ++